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Critique de Ponderosa
Cette nouvelle est le prequel du roman « L'insoumis ».
Sebastian Rudd , surnommé Rude (en anglais : mal élevé) par ses confrères, est un avocat qui aime faire parler de lui en défendant des clients dont personne ne veut. Contrairement à ses confrères et aux membres du bureau du procureur, il adore les joutes verbales lors des procès et rien ne le rend plus heureux que les plaidoiries. Aussi, lorsqu'un dealer lui demande de défendre un noir accusé du meurtre d'un policier, il n'hésite pas longtemps.
Le résumé m'a un peu fait penser à la défense Lincoln, mais la comparaison s'arrête là. Ce résumé était d'ailleurs fort prometteur, mais que dire d'une nouvelle dont les trois premiers chapitres sont d'une longueur qui semble infinie à cause de détails assommants. En revanche tous les chapitres concernant le procès sont passionnants, et ce jusqu'à la fin.
Sebastian Rudd , surnommé Rude (en anglais : mal élevé) par ses confrères, est un avocat qui aime faire parler de lui en défendant des clients dont personne ne veut. Contrairement à ses confrères et aux membres du bureau du procureur, il adore les joutes verbales lors des procès et rien ne le rend plus heureux que les plaidoiries. Aussi, lorsqu'un dealer lui demande de défendre un noir accusé du meurtre d'un policier, il n'hésite pas longtemps.
Le résumé m'a un peu fait penser à la défense Lincoln, mais la comparaison s'arrête là. Ce résumé était d'ailleurs fort prometteur, mais que dire d'une nouvelle dont les trois premiers chapitres sont d'une longueur qui semble infinie à cause de détails assommants. En revanche tous les chapitres concernant le procès sont passionnants, et ce jusqu'à la fin.
