De son vrai prénom Yolanda, née en 1933 au Caire, en Égypte et décédée en 1987 à Paris.
Face A, Dalida c'est cette chevelure flamboyante, qu'elle soulevait avec sensualité. Son regard, qu'un strabisme rendait plus troublant encore. Une voix rauque et veloutée, teintée d'un accent exotique. Une silhouette de rêve, magnifiée par les robes des plus grands créateurs, Balmain, St Laurent, Azzaro,…
Une présence incroyable sur scène, et même à l'écran. Des millions de fans, et des amants transis d'amour. L'ambassadrice de la chanson française dans les années 60, la reine du disco une décennie plus tard.
La face B, c'est toujours celle que l'on connaît le moins.
Face B, Dalida était écrasée par la culpabilité, persuadée de porter malheur aux hommes qui s'attachaient à elle. Pourtant entourée par son jeune frère Orlando et une ou deux amies fidèles, Dalida se sentait seule, rongée par un mal invisible : la dépression.
La scénariste
Véronique Grisseaux et l'illustratrice
Céline Théraulaz lèvent le voile sur le côté sombre de l'existence d'une grande dame, d'une immense star.
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