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Critique de bouma
Pas facile de raconter le mensonge, sa perception chez le jeune enfant, qui plus est en album. Pourtant Catherine Grive et Frédérique Bertrand y arrivent de manière subtile et imagée.
Racontée à la première personne du singulier, le lecteur prend la place du menteur et va partager le sentiment de culpabilité qui va petit à petit s'emparer de lui. Représenté graphiquement par un point rouge, on le voit grossir, s'étendre, se multiplier, et compléter ainsi le discours proposé par le texte.
Mon Petit Bout n'a eu aucun mal à comprendre la métaphore graphique proposée. La simplicité des images et leur douce atmosphère se heurte à la symbolique évidente de ce point. Il vient « gâcher » les illustrations, transfigurer le paysage jusqu'à la fin où la vérité explose et permet à l'enfant de sourire sereinement.
Une proposition très intéressante.
Lien : http://boumabib.fr/2018/02/0..
Racontée à la première personne du singulier, le lecteur prend la place du menteur et va partager le sentiment de culpabilité qui va petit à petit s'emparer de lui. Représenté graphiquement par un point rouge, on le voit grossir, s'étendre, se multiplier, et compléter ainsi le discours proposé par le texte.
Mon Petit Bout n'a eu aucun mal à comprendre la métaphore graphique proposée. La simplicité des images et leur douce atmosphère se heurte à la symbolique évidente de ce point. Il vient « gâcher » les illustrations, transfigurer le paysage jusqu'à la fin où la vérité explose et permet à l'enfant de sourire sereinement.
Une proposition très intéressante.
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