Quand on écoute
Stéphane de Groodt faire ses chroniques, y'a pas à dire, c'est époustouflant (au moins les premières fois), mais les lire... l'intérêt, sans doute, c'est de ne pas louper les milliers de jeux de mots à côté desquels on passe forcément quand on l'écoute. Mais d'une chronique à l'autre, on repère assez vite une rengaine ne serait-ce que dans l'intro de chacune d'elle mais aussi dans le déroulement et on imagine bien la tactique: des mots jetés sur papier qu'on amalgame à d'autres pour créer des jeux de mots filés, ça marche bien, c'est chouette, mais c'est lassant!
Finalement, ce que j'ai préféré, c'est le courrier des lecteurs, jusqu'à ce que je lise le mot "imaginaire", même pas un vrai courrier des lecteurs...
Bon, c'était pas une très bonne idée de lire pleins de chroniques à la fois.
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