par l'auteur de
de l'eau pour les éléphants. il fallait donc s'en méfier.
les 70 premières pages ont été un supplice. même si le récit est documenté, il n'en reste pas moins un roman. ce sont les livres sur lesquels s'appuient la recherche documentaire nécessaire à son écriture qui m'intéressent véritablement.
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