Je découvre l'écriture de
Jean-Claude Grumberg, que j'avais vu à La Grande Librairie au moment de son passage pour la publication de son livre (je suis d'ailleurs allée le réécouter sur YouTube). Un conte sur la Shoah. Un faux conte vrai. Un vrai conte comme on pourrait en lire chez Andersen. le féerique côtoie la cruauté. C'est finement brodé, comme le châle dans lequel est enveloppée « la plus précieuse des marchandises ». J'ai eu peur, j'ai frissonné, j'ai pleuré. Une belle pierre à l'édifice de la mémoire de la déportation et de l'extermination des juifs.
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