Ouvrir les yeux des vivants avec douceur

"J'ai vingt-deux ans, des envies plein les poches et une promesse qui n'était pas la mienne."

Une milonga.
Un coeur.
Un regard.

Une salle d'attente, la joie de la pluie, des attaques de panique, l'âme russe, impossible de gérer, une danse aimantée, un psychiatre, le café du matin, une amnésie, tenir sa promesse, des tentatives de suicide, couleur de cendres, le besoin de vibrer, des cauchemars, pour le meilleur et pour le pire, une infinie poésie, une dispute enragée, un capitaine et un lieutenant, une explosion énorme, un rire en cascade, des enlèvements, une robe fushia, des galeries souterraines, un inattendu enlacement, un précis message, une vraie rencontre, le clapotis des pieds, un marque-page dans la vie, la panique qui monte, un espoir gâché, un beau silence, une étincelle d'intérêt, un amour qui reste, la passionnante Lyon, une apparition flottante, une fulgurante douleur, une impression de déjà-vu, un carnet mystérieux...

J'ai rencontré Céline Guarnieri, elle est dynamique, généreuse, volontaire, sensible.
Comme son écriture !

"On ferme les yeux des morts avec douceur ; c'est aussi avec douceur qu'il faut ouvrir les yeux des vivants."

Merci à Jean Cocteau pour cette toujours aussi magnifique citation.

Merci à Céline Guardani pour le charme, la tendresse, l'humour de ce captivant, émouvant et poignant roman.
Paru aux indépendantes Éditions d'Avallon.

Sourire à l'intérieur.
Danser.
Se libérer des ombres.
Accorder sa tête et son coeur.
Raconter son histoire.
Renaître.
Aimer.