Un récit dans lequel la confrontation du narrateur avec la maladie n est plus le sujet central, même si son état de santé vacillant et l approche de la mort sont là, en filigrane, tout au long du texte.
Je suis étonnée de constater à quel point
Hervé Guibert, de par son écriture incisive, claire, sans complaisance ni chichi , parvient à me tenir voire à me fasciner, même lorsque les sujets qu il aborde (le marché de l art) ne sont pas d un grand
intérêt pour moi.
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