Ce livre n’est pas une « réflexion » à proprement parler, ni un livre de philosophie ni une critique littéraire. C’est, modestement,
un travail de couture. J’ai choisi quelques fragments de l’ouvrage de Ferrante pour les rapprocher de certains concepts, particulièrement ceux de François Jullien (distance, entre, altérité, intime…), les rapprocher aussi d’un singulier rapport de Marcel Proust à l’amitié.
J’ai lu Ferrante en faisant des points de capiton entre ces trois auteurs, et quelques autres… Pour fabriquer une poupée de chiffons, et inviter ainsi à une promenade, à côté des monuments.