Henri Guillot écrit ce mini-dictionnaire dans les années 40. Il ne cherche pas à flagorner par ses connaissances. Au contraire, en auspice, il veut réhabiliter certains mots de la langue française pour la maintenir hors de la débilité.
Sans fatuité de ma part, je connaissais bon nombre de définitions. Alors pourquoi ce professeur utilise tant de boniments dans son avant-propos. Peut-être parce qu'il a édité ce dictionnaire à compte d'auteur.
Néanmoins, était-il captieux ou patelin pour houspiller ses contemporains ? Je n'ai pas l'outrecuidance de le désigner au pilori ou de le condamner à la cangue.
Loin de moi la volonté de postuler son rôle. Cependant, je ne verserai pas non plus dans un dithyrambe, car sans m'ébaudir et évitant les lazzi, et pour cesser mes affèteries je conclurai en affirmant que ce dictionnaire reste vertugadin et peu sapide pour être lu de nos jours.