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Critique de lecassin
Tout d'abord, et Dieu sait si c'est important en littérature jeunesse, on remarque de superbes illustrations grand format dues à Anne Hofer ; illustrations hors et dans le texte qui donnent envie d'entrer dans le monde de Violette.
On y assistera à la métamorphose d'une petite fille due à la présence de Génie, son hamster. Elle connaîtra l'envie et l'espoir, puis un grand amour et une grande tristesse… enfin, elle possédera un grand secret. En un mot comme en cent, tout ce qui est requis – du moins pour Paul Guimard – pour qu'une petite fille passe de l'enfance à l'adolescence…
Un texte astucieux jouant sur les différentes acceptions de mots courants autour de la notion de génie. Un texte sobre et élégant – c'est du Guimard, même si c'est destiné à nos chères têtes blondes – en même temps que porteur d'un message loin d'être cucul comme on en rencontre parfois dans la littérature enfantine.
On y assistera à la métamorphose d'une petite fille due à la présence de Génie, son hamster. Elle connaîtra l'envie et l'espoir, puis un grand amour et une grande tristesse… enfin, elle possédera un grand secret. En un mot comme en cent, tout ce qui est requis – du moins pour Paul Guimard – pour qu'une petite fille passe de l'enfance à l'adolescence…
Un texte astucieux jouant sur les différentes acceptions de mots courants autour de la notion de génie. Un texte sobre et élégant – c'est du Guimard, même si c'est destiné à nos chères têtes blondes – en même temps que porteur d'un message loin d'être cucul comme on en rencontre parfois dans la littérature enfantine.
