Un polar de facture assez classique qui n'est pas sans rappeler dans, sa construction, les romans de
Adler Olsen - l'humour en moins (hélas).
De nos jours, une profileuse, efficace et taiseuse ; une journaliste/écrivain spécialisée dans les portraits d'assassins ; un ou deux serials killers qui perpètrent des crimes horribles à Londres et à Falkenberg en Suède.
En 1944, à Buchenwald, un docteur qui utili
se les enfants du camp pour des expériences et son assistant, jeune allemand communiste, interne en médecine. On comprend rapidement que les meurtres contemporains s'originent dans cette partie de l'Histoire que l'on souhaiterait avoir oublié.
C'est un premier tome énergique, bien mené, l'auteur sait ménager le suspense et réserver quelques surprises au lecteur en l'égarant sur de mauvaises pistes. Les deux personnages sont abimés par des drames personnels qui sont juste effleurés, laissant la porte à de futurs rebondissements.
Pas inoubliable mais un moment de lecture agréable. Deux autres tomes sont déjà parus, à suivre.
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