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Critique de Diabolau
Chien pourri, on l'aura compris, est pourri. Il vit dans une poubelle, et tout est pourri autour de lui : sa famille, ses potes, quelle que soit leur race, quelle que soit leur espèce, et s'ils ne sont pas pourris physiquement, ils le sont moralement.
En fait, ce bouquin m'a très rapidement fait penser à un de ces dessins-animés abêtissants qu'ils passent sans cesse à la télé de nos jours, où les persos sont tous absurdes, volontiers crados, et passent leur temps à se hurler dessus et à se mettre des "punchlines" (comme disent les djeuns), sans qu'on se préoccupe le moins du monde d'un début de commencement de scénario qui puisse tenir la route.
Voilà donc à quoi on a affaire : une histoire idiote, une succession de personnages idiots, ou dégueux, ou vachards, ou tout ça à la fois, un style franchement pourri (perdu pour perdu, puisqu'on vous le dit : tout est pourri dans cette histoire !) avec des dialogues interminables où on oublie très vite qui parle à qui, qui engueule qui, et qui balance des calembours miteux.
Ce n'est pourtant pas très long, mais ça m'a mis dans un tel état de colère que j'ai fini par jeter l'éponge avant la fin.
L'école des loisirs est rendue bien bas pour publier de pareilles purges, et quand je pense que ça va se retrouver dans la BCD de mon école, j'en suis à moitié malade.
L'illustrateur a sans aucun doute des qualités, mais il se discrédite en allant se commettre avec un pareil navet.
En fait, ce bouquin m'a très rapidement fait penser à un de ces dessins-animés abêtissants qu'ils passent sans cesse à la télé de nos jours, où les persos sont tous absurdes, volontiers crados, et passent leur temps à se hurler dessus et à se mettre des "punchlines" (comme disent les djeuns), sans qu'on se préoccupe le moins du monde d'un début de commencement de scénario qui puisse tenir la route.
Voilà donc à quoi on a affaire : une histoire idiote, une succession de personnages idiots, ou dégueux, ou vachards, ou tout ça à la fois, un style franchement pourri (perdu pour perdu, puisqu'on vous le dit : tout est pourri dans cette histoire !) avec des dialogues interminables où on oublie très vite qui parle à qui, qui engueule qui, et qui balance des calembours miteux.
Ce n'est pourtant pas très long, mais ça m'a mis dans un tel état de colère que j'ai fini par jeter l'éponge avant la fin.
L'école des loisirs est rendue bien bas pour publier de pareilles purges, et quand je pense que ça va se retrouver dans la BCD de mon école, j'en suis à moitié malade.
L'illustrateur a sans aucun doute des qualités, mais il se discrédite en allant se commettre avec un pareil navet.
