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Critique de Boomer
C'était long long long. Un livre transitoire vers le tome 4 (que je lis actuellement et dans lequel il y a beaucoup plus d'action), avec des passages dont on pourrait bien se passer.
Très dommage de ne pas voir plus souvent le personnage d'Ozzie qui reste le meilleur de toute la série. Par contre on a de la Mellanie sous toutes les coutures, ce qui m'a amenée à une réflexion qui ne me lache plus depuis.
L'auteur, outre son puritanisme américain (scènes de cul très chastement décrites, toujours très hétéros et au maximum en binôme), ne décrit physiquement QUE ses personnages féminins. Ça devient lassant ces descriptions de leurs "longues jambes musclées" et de leurs "jolis nichons".
Du coup, je trouvais déjà l'histoire moyennement bien écrite, mais là je me hâte encore plus de la finir (parce que ce n'est pas non plus un enfer illisible, et qu'il y a des moments sympas et un univers assez intéressant, et que j'ai envie de savoir la fin).
Très dommage de ne pas voir plus souvent le personnage d'Ozzie qui reste le meilleur de toute la série. Par contre on a de la Mellanie sous toutes les coutures, ce qui m'a amenée à une réflexion qui ne me lache plus depuis.
L'auteur, outre son puritanisme américain (scènes de cul très chastement décrites, toujours très hétéros et au maximum en binôme), ne décrit physiquement QUE ses personnages féminins. Ça devient lassant ces descriptions de leurs "longues jambes musclées" et de leurs "jolis nichons".
Du coup, je trouvais déjà l'histoire moyennement bien écrite, mais là je me hâte encore plus de la finir (parce que ce n'est pas non plus un enfer illisible, et qu'il y a des moments sympas et un univers assez intéressant, et que j'ai envie de savoir la fin).
