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Critique de okada
Le jour de ses 13 ans, Gustave reçoit une enveloppe mystérieuse : c'est une lettre de sa tante Béa qui lui révèle la vérité sur ses origines, vérité qu'il soupçonnait en faisant tout pour ne pas la voir : maman-papa, comme il appelle ses parents, l'ont adopté… Dès lors sa vie change. D'abord déboussolé et furieux que ses parents lui ai menti si longtemps, il va apprendre à nuancer ses sentiments et ses jugements et partir en quête de ses origines. Un voyage plein de surprises et d'émotions.
Sur un canevas simple, Béatrice Hammer imagine une histoire très émouvante et entraînante. Écrit à la première personne, du point de vue de l'adolescent, le récit nous permet de partager les différentes phases par lesquelles passent Gustave et son entourage. « le Fils de l'océan » est un beau témoignage sur l'adoption et le cortège de questions qu'il entraîne. Elles sont posées dans le livre avec des réponses à la fois subtiles et suffisamment simples pour toucher et faire réfléchir les jeunes lecteurs. La deuxième partie du roman nous permet de suivre Gustave en quête de sa mère naturelle, en Polynésie. le récit devient alors une fenêtre sur le monde, nous faisant toucher du doigt une autre culture.
Sur un canevas simple, Béatrice Hammer imagine une histoire très émouvante et entraînante. Écrit à la première personne, du point de vue de l'adolescent, le récit nous permet de partager les différentes phases par lesquelles passent Gustave et son entourage. « le Fils de l'océan » est un beau témoignage sur l'adoption et le cortège de questions qu'il entraîne. Elles sont posées dans le livre avec des réponses à la fois subtiles et suffisamment simples pour toucher et faire réfléchir les jeunes lecteurs. La deuxième partie du roman nous permet de suivre Gustave en quête de sa mère naturelle, en Polynésie. le récit devient alors une fenêtre sur le monde, nous faisant toucher du doigt une autre culture.
