On m'a déjà saoulé de paroles, mais jamais à l'écrit. Cette Charlie est atteinte d'une véritable logorrhée littéraire qui m'a assommée dès le premier chapitre. Mais heureusement, passé le premier chapitre, on prend la mesure de cette pâtissière complètement larguée qui vit une situation que tout commerçant ne se voit pas vivre un jour : sa pâtisserie sert à blanchir l'argent de la drogue de la mafia russe !!
Derrière cette logorrhée omniprésente se cache une exc
ellente idée de scénario qui malheureusement ne résiste pas à la lecture. A croire que l'auteur aussi s'est laissée submerger par son personnage.
Par ailleurs, les personnages ne m'ont pas paru avoir beaucoup de substance hormis leur ambivalence totale et leurs disputes incessantes.
Malgré cela, j'ai eu quelques bons éclats de rire du à des situations bien cocasses. Un livre aussi léger qu'une mousse de cupcake et sans ré
elle substance,
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