Ce 8e tome amorce selon moi un petit déclin dans la série
Baudelaire. En effet, je n'arrive pas à accrocher au contexte, celui de la Clinique, des Archives, des Volontaires. Pourtant, l'humour du narrateur est toujours présent. On a ainsi le droit à une D.R.H complètement tyrannique et décalée, des Bénévoles hospitaliers joyeux mais d'aucune aide et à un service d'Archives où il ne faut surtout, surtout pas lire les dossiers... Mais vraiment, le contexte, je n'accroche pas, sans réellement comprendre pourquoi.
Hormis ce point, ce tome 8 a une narration à l'identique des 7 premiers tomes. le sort s'acharne toujours autant sur les
Baudelaire et les secrets commencent à devenir légion.
On n'apprend rien sur le passage secret, sur V.D.C, sur les Volontaires, sur Jacques Snicket. En plus de ces secrets, d'autres apparaissent : un fameux dossier Snicket qui pourrait confondre Olaf et sa clique, un parent Baudelaire qui aurait peut-être survécu et surtout un mystérieux sucrier volé par le narrateur à Esmé d'Eschemizerre. . Ainsi, les mystères pullulent, les questionnements aussi, ce qui nous laisse espérer des réponses à nos questions.
Le tome 8 est également le moment où l'on commence à voir vraiment Prunille grandir. Commençant à marcher à la fin du tome 7, son langage se passe de plus en plus de traduction, un petit point cohérent même si les aptitudes
Baudelaire sont généralement très invraisemblables ( un bébé aux dents de castor et à l'intelligence d'un intelligence? Non mais vraiment Mr Snicket... )
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