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Critique de Vermeer
Le best seller synthétique de Yuval Harari sur l'histoire de Sapiens mis en bande dessinée.
Sapiens, animal insignifiant de la création conquiert la planète, surpasse et détruit les autres espèces humaines, la faune, la flore partout où il arrive à partir de la révolution cognitive il y a 70 000 ans. Ses atouts : les outils, le commerce et surtout sa force : sa capacité à coopérer de façon flexible avec des inconnus en grand nombre. Ceci grâce à des mythes, une réalité imaginée, une construction sociale ( religions, monnaie, justice, sociétés anonymes, nations). Chez les animaux, pas de changement significatif de comportement sans mutations génétiques. Chez les hommes, les mutations culturelles sont bien plus rapides que l'évolution génétique et Sapiens n'est pas uniquement dépendant de son physique.
Ce premier volume retrace de façon humoristique le destin de serial killer de Sapiens qui détruit tout dès qu'il arrive et ne s'attache qu'à son histoire de chasseur-cueilleur. Les modes de vie des fourrageurs étaient extrêmement variées et leur existence, thèse essentielle de l'auteur, plus saine, plus facile, plus autonome que celle des agriculteurs-éleveurs sédentaires qui vont leur succéder.
Sapiens, animal insignifiant de la création conquiert la planète, surpasse et détruit les autres espèces humaines, la faune, la flore partout où il arrive à partir de la révolution cognitive il y a 70 000 ans. Ses atouts : les outils, le commerce et surtout sa force : sa capacité à coopérer de façon flexible avec des inconnus en grand nombre. Ceci grâce à des mythes, une réalité imaginée, une construction sociale ( religions, monnaie, justice, sociétés anonymes, nations). Chez les animaux, pas de changement significatif de comportement sans mutations génétiques. Chez les hommes, les mutations culturelles sont bien plus rapides que l'évolution génétique et Sapiens n'est pas uniquement dépendant de son physique.
Ce premier volume retrace de façon humoristique le destin de serial killer de Sapiens qui détruit tout dès qu'il arrive et ne s'attache qu'à son histoire de chasseur-cueilleur. Les modes de vie des fourrageurs étaient extrêmement variées et leur existence, thèse essentielle de l'auteur, plus saine, plus facile, plus autonome que celle des agriculteurs-éleveurs sédentaires qui vont leur succéder.
