Quelle déception !
Le silence des agneaux fait partie de mon panthéon personnel. Il m'a laissé le souvenir d'un livre foisonnant d'inventivité, de modernité et de complexité – pour l'époque. Rien de tout cela dans
Cari Mora : un « méchant » plat comme une limande, des personnages peu fouillés et sans la complexité que j'espérais, une intrigue dont on se fiche un peu de connaître la résolution… Un grand format encombrant, qui ne va pas encombrer longtemps ma bibliothèque.
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