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Critique de jamiK
C'est toujours un plaisir de plonger dans l'univers de Ben Hatke, auteur que j'affectionne particulièrement, avec la série “Zita”, ou “Milo et les monstres du grand escalier” par exemple.
Ici, il s'agit d'une histoire courte, pour un public plus jeune encore. On est entre l'album pour enfants et la bande dessinée, pas de phylactère, une colorisation douce aquarellée, traits de crayons légers, hachures discrètes. le format est à l'italienne, ce qui le rapproche encore de l'album jeunesse.
Julia s'ennuie dans sa grande maison au bord de mer, elle invite tous les monstres perdus qui passent par là, des monstres gentils, fantastiques, certains sont assez laids, mais ils sont tous sympathiques. Ils mettent un peu le bazar chez Julia.
L'histoire est enjouée, le graphisme plein d'imagination, il mêle enfance et fantasy avec beaucoup de fraîcheur, mais par rapport à ce que je connais de cet auteur, cette lecture reste plus anecdotique, sans doute parce que destiné à un public vraiment très jeune pour qui les codes du fantasy importent peu.
Ici, il s'agit d'une histoire courte, pour un public plus jeune encore. On est entre l'album pour enfants et la bande dessinée, pas de phylactère, une colorisation douce aquarellée, traits de crayons légers, hachures discrètes. le format est à l'italienne, ce qui le rapproche encore de l'album jeunesse.
Julia s'ennuie dans sa grande maison au bord de mer, elle invite tous les monstres perdus qui passent par là, des monstres gentils, fantastiques, certains sont assez laids, mais ils sont tous sympathiques. Ils mettent un peu le bazar chez Julia.
L'histoire est enjouée, le graphisme plein d'imagination, il mêle enfance et fantasy avec beaucoup de fraîcheur, mais par rapport à ce que je connais de cet auteur, cette lecture reste plus anecdotique, sans doute parce que destiné à un public vraiment très jeune pour qui les codes du fantasy importent peu.
