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Critique de florencem
Une nouvelle relecture avec Host Club. Je me souviens ne pas avoir fini le manga, et j'ai eu envie de m'y replonger car j'en gardais un bon souvenir. Vu son côté délirant, il est en plus parfait pour entrecouper des lectures plus sérieuses et redonner le sourire. Une lecture sans prise de tête et rafraichissante.
Shojo que je classerai dans le genre comédie romantique, Host Club nous propose de découvrir le quotidien d'un groupe d'amis dont le hobby est de servir d'hôtes aux jeunes lycéennes de leur établissement fortunée. Et c'est grâce à notre héroïne Haruhi, seule élève boursière du lycée, que nous allons découvrir ses énergumènes plutôt originaux.
Dès le départ, on sent que le manga sera dans la démesure, l'humour, le non prise de tête. Les situations improbables se succèdent tout comme les conversations qui n'ont ni-queue ni-tête. le décalage est assez incroyable entre ses adolescents richissimes et le commun des mortels. C'est drôle et on ne s'offusque absolument pas car nous sommes dans la dérision totale. Il y a aussi cette bienveillance qui plane au-dessus de nos héros. Ils peuvent être manipulateurs, un brin mesquins, mais on voit aussi leurs bons côtés. Haruhi est un peu comme un animal exotique plein de charmes et de mystères vraiment très intrigant. Ils sont curieux, ont envie de la taquiner, mais surtout, on voit qu'ils la prennent sous leurs ailes très rapidement. le début d'une amitié étrange et improbable qui nous réservera peut-être même des surprises.
Ce premier tome est une succession de petites aventures qui nous permettent de bien appréhender les personnalités de tous nos héros. Les garçons sont de sacrés bonhommes, chacun avec sa particularité : l'enfant, le taciturne, les chahuteurs, le silencieux et le soupe au lait. On ne s'ennuie pas une seule seconde, et impossible de ne pas sourire devant tant d'improbabilités. Surtout qu'en face, il y a Haruhi. La jeune femme est très stoïque, rien ne semble vraiment la perturbée et elle s'accommode des personnalités loufoques de ses nouveaux compagnons avec une facilité déconcertante. La différence de statut comme le fait qu'elle ne soit absolument pas impressionnée par les fortunes des garçons, fait qu'il y a un contraste saisissant et drôle. Elle ne se laisse pas faire, est très franche, et en même temps, elle se doit de se plier quand même à leurs extravagances (oui, elle a une dette à rembourser…).
Mais derrière tout ce côté loufoque, il y a aussi des moments tendres et adorables. On s'attache rapidement et même si ce premier tome est surtout là pour poser les bases, le travail sur les personnages est déjà assez abouti pour nous donner envie de continuer.
Shojo que je classerai dans le genre comédie romantique, Host Club nous propose de découvrir le quotidien d'un groupe d'amis dont le hobby est de servir d'hôtes aux jeunes lycéennes de leur établissement fortunée. Et c'est grâce à notre héroïne Haruhi, seule élève boursière du lycée, que nous allons découvrir ses énergumènes plutôt originaux.
Dès le départ, on sent que le manga sera dans la démesure, l'humour, le non prise de tête. Les situations improbables se succèdent tout comme les conversations qui n'ont ni-queue ni-tête. le décalage est assez incroyable entre ses adolescents richissimes et le commun des mortels. C'est drôle et on ne s'offusque absolument pas car nous sommes dans la dérision totale. Il y a aussi cette bienveillance qui plane au-dessus de nos héros. Ils peuvent être manipulateurs, un brin mesquins, mais on voit aussi leurs bons côtés. Haruhi est un peu comme un animal exotique plein de charmes et de mystères vraiment très intrigant. Ils sont curieux, ont envie de la taquiner, mais surtout, on voit qu'ils la prennent sous leurs ailes très rapidement. le début d'une amitié étrange et improbable qui nous réservera peut-être même des surprises.
Ce premier tome est une succession de petites aventures qui nous permettent de bien appréhender les personnalités de tous nos héros. Les garçons sont de sacrés bonhommes, chacun avec sa particularité : l'enfant, le taciturne, les chahuteurs, le silencieux et le soupe au lait. On ne s'ennuie pas une seule seconde, et impossible de ne pas sourire devant tant d'improbabilités. Surtout qu'en face, il y a Haruhi. La jeune femme est très stoïque, rien ne semble vraiment la perturbée et elle s'accommode des personnalités loufoques de ses nouveaux compagnons avec une facilité déconcertante. La différence de statut comme le fait qu'elle ne soit absolument pas impressionnée par les fortunes des garçons, fait qu'il y a un contraste saisissant et drôle. Elle ne se laisse pas faire, est très franche, et en même temps, elle se doit de se plier quand même à leurs extravagances (oui, elle a une dette à rembourser…).
Mais derrière tout ce côté loufoque, il y a aussi des moments tendres et adorables. On s'attache rapidement et même si ce premier tome est surtout là pour poser les bases, le travail sur les personnages est déjà assez abouti pour nous donner envie de continuer.
