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Critique de NicolasFJ
Un très bon divertissement bourré de fun, de magie et d'action.
Si déjà dans Hex Hall on sentait l'influence de Buffy, on nage ici en plein copié-collé (totalement assumé) de style et de structure. le roman démarre comme un épisode de Buffy, avec une héroïne et des personnages Buffyesques et des références directes à la série.
Attention, le rythme est moins rapide que sur Hex Hall, et l'univers moins foufou, même si la mythologie est ici très originale et très travaillée. Liée à L Histoire, elle m'a même donné envie d'aller faire mes propres recherches pour voir à quel moment la réalité historique glissait dans le fantastique...
Auto-décrite comme une aventure "entre La Revanche d'une Blonde et Terminator", ce roman vacille effectivement entre les délires girly et les combats surnaturels, rappelant aussi énormément la série Mediator de Meg Cabot.
Ça promet d'être une excellente série (le premier tome est clairement à suivre même s'il clôt le plus gros de l'intrigue et réserve de belles surprises finales), surtout si les prochaines couvertures sont aussi génialement kitsch que celle-ci !
Si déjà dans Hex Hall on sentait l'influence de Buffy, on nage ici en plein copié-collé (totalement assumé) de style et de structure. le roman démarre comme un épisode de Buffy, avec une héroïne et des personnages Buffyesques et des références directes à la série.
Attention, le rythme est moins rapide que sur Hex Hall, et l'univers moins foufou, même si la mythologie est ici très originale et très travaillée. Liée à L Histoire, elle m'a même donné envie d'aller faire mes propres recherches pour voir à quel moment la réalité historique glissait dans le fantastique...
Auto-décrite comme une aventure "entre La Revanche d'une Blonde et Terminator", ce roman vacille effectivement entre les délires girly et les combats surnaturels, rappelant aussi énormément la série Mediator de Meg Cabot.
Ça promet d'être une excellente série (le premier tome est clairement à suivre même s'il clôt le plus gros de l'intrigue et réserve de belles surprises finales), surtout si les prochaines couvertures sont aussi génialement kitsch que celle-ci !
