Cela démarre fort et on se dit qu'au rythme de 1 meurtre à l'heure, on ne tiendra pas les 17 heures restantes.
Puis tout se calme -façon de parler quand il s'agit du combat des moudjahidines contre les hélicoptères Mind des Russes- on approfondit alors la connaissance des deux personnages solitaires principaux (le Sarrazin et Pilgrim), présentés avec précisions et détails qui rendent crédibles leurs parcours.
Ces surhommes vont se rencontrer mais quand j'ai dit ça, je n'ai rien dit, tant la richesse de ce roman est irrésumable.
Sans recherche particulière d'effets, le roman est attachant par les méandres de la vie. le fil de la pelote est parfois tiré par les cheveux sur fond d'une scénarisation que d'aucuns ont rapprochée de James Bond. C'est cette dernière considération qui vaut une demie étoile de moins à ce livre passionnant.
Commenter  J’apprécie         340