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Critique de Pralinerie


Les neiges du Kilimandjaro. Il s'est blessé à la jambe. Il se voit déjà mourir et fait repasser les moments de sa vie.

Dix indiens. Retour de la fête du 4 juillet, 9 indiens dorment, ivres. Nick, rentre chez lui pour apprendre que sa bonne amie en aime un autre.

La capitale du monde. Madrid, Paco se rêve torero et s'entraîne dans la cuisine. Un faux mouvement et il est mort.

Hommage à la Suisse. Dans un café, une scène entre un voyageur et une serveuse, reprise trois fois.

L'heure triomphale de Francis Macomber. Ils sont partis à la chasse au lion et l'on comprend très vite qu'il n'a pas tout géré. Sur le pouvoir et la virilité.

Le vieil homme près du pont. Guerre d'Espagne, tous fuient l'ennemi sauf cet homme, inquiet pour les animaux qu'il a abandonné (deux chèvres, un chat et des pigeons).

C'est aujourd'hui vendredi. Les légionnaires boivent un coup après la crucifixion.

La lumière du monde. A la gare, des prostituées et des hommes attendent le train. Parmi les femmes, l'une d'elle, obèse, fascine le narrateur.

La fin de quelque chose. Nick et Marjorie pêchent puis il la renvoie.

Une journée d'attente. Il a de la fièvre. Entre Fahrenheit et Celsius, il voit mieux ne pas se tromper !

Là-haut dans le Michigan. Liz sent qu'elle aime bien Jim. Elle le regarde, elle l'attend. Mais pour Jim, elle n'est qu'un corps.

Trois jours de tourmente. Bill et Nick boivent, prévoient leur journée de pêche. Nick regrette d'avoir quitté Marjorie.

On y retrouve cette humanité perdue, un peu vide, trop riche en safari ou trop pauvre pendant la guerre, des hommes grossiers, qui viennent des terres, des hommes qui regardent le monde et s'interrogent. Touchante humanité !
Lien : https://pralinerie.blogspot...
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