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Critique de Graphistelectrice
"Anonymat Garanti" ou comment Jessica se fait passer pour une riche étudiante afin de participer à une étude rémunérée sur la morale afin de garnir un peu le frigo. Éthiquement, c'est l'équivalent de pirater un compte Netflix pour regarder un docu sur la cyber-sécurité : incohérent.
Et voilà que ce qui devait être une simple croix sur un formulaire se transforme en un jeu psychologique avec le Dr Shields, un stratège de la manipulation mentale, tirant les ficelles avec la précision d'une horloger suisse. Il sonde Jessica avec des questions qui semblent peintes sur mesure pour elle, chaque réponse dévoilant un peu plus de son âme.
Ce thriller vous emmène dans un vertigineux manège mental dès les premières pages. Aux commandes, Greer Hendricks et Sarah Pekkanen manient le changement de perspectives comme un art du déséquilibre. Tantôt dans le quotidien fragmenté de Jessica, tantôt dans les méandres machiavéliques du Dr Shields, le tout formant un récit captivant qui garde le lecteur fermement ancré à chaque tournant de l'histoire.
Le suspense est aussi serré qu'un noeud de cravate, et la tension ne dégringole jamais. Les rebondissements s'enchaînent avec la régularité d'un métronome en pleine crise de tachycardie.
Le petit plus ? Les références à de véritables études psychologiques qui offrent une passerelle entre les frissons de la fiction et ceux, bien réels, de l'expérimentation humaine. Un très bon moment avec ce roman noir !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Et voilà que ce qui devait être une simple croix sur un formulaire se transforme en un jeu psychologique avec le Dr Shields, un stratège de la manipulation mentale, tirant les ficelles avec la précision d'une horloger suisse. Il sonde Jessica avec des questions qui semblent peintes sur mesure pour elle, chaque réponse dévoilant un peu plus de son âme.
Ce thriller vous emmène dans un vertigineux manège mental dès les premières pages. Aux commandes, Greer Hendricks et Sarah Pekkanen manient le changement de perspectives comme un art du déséquilibre. Tantôt dans le quotidien fragmenté de Jessica, tantôt dans les méandres machiavéliques du Dr Shields, le tout formant un récit captivant qui garde le lecteur fermement ancré à chaque tournant de l'histoire.
Le suspense est aussi serré qu'un noeud de cravate, et la tension ne dégringole jamais. Les rebondissements s'enchaînent avec la régularité d'un métronome en pleine crise de tachycardie.
Le petit plus ? Les références à de véritables études psychologiques qui offrent une passerelle entre les frissons de la fiction et ceux, bien réels, de l'expérimentation humaine. Un très bon moment avec ce roman noir !
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