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Critique de ALDAMO21
J'ai quelques amies de Babelio qui ont la faculté de bien écrire.
Après avoir lu Cathy, Christina, Irène, Laure et Véronique, j'ai voulu découvrir les talents littéraires de Virginie Hendrickx.
*
L'auteure liégeoise écrit depuis son plus jeune âge. Et j'ai reçu la confidence que « Une semaine pour t'aimer » fut écrit lorsque Virginie était adolescente.
Le roman est plutôt bien réussi.
L'auteure s'est faite narratrice d'Elisabeth, une jeune étudiante pleine d'espérance et le personnage central du roman.
Son histoire est celle d'un rêve des jeunes filles de son âge, avec un Prince Charmant qu'elle espère rencontrer et une grande histoire d'amour qu'elle souhaite ardemment vivre.
*
Elisabeth est une jeune fille studieuse et sage qui suit des cours à l'Université.
Mais aujourd'hui, elle est pleine de colère, d'amertume et de désillusions car un garçon lui a griffé son petit coeur tout tendre.
Un certain Blaise, qu'elle surnomme plus le « Blaireau », s'était comporté avec elle d'une manière très rustre et malhonnête. Après lui avoir fait croire qu'il avait des sentiments pour elle, il la jeta comme une vieille chaussette sans aucun remord.
Blessée dans son âme, Elisabeth ne peut s'empêcher de ressasser cette rupture brutale. Elle ne sort plus, s'enferme dans sa chambre et ne veut plus voir personne.
C'est alors que poussée par sa meilleure amie Lola, elle accepte de venir avec elle et d'autres amis à la fête foraine.
Elisabeth découvre par hasard, à côté d'un stand de tir, une vieille machine à Souhait.
Sans trop y croire, elle glisse quelques pièces et fait un voeu.
*
C'est dans la nuit que des événements étranges vont se manifester auprès à la jeune fille.
Elisabeth va alors faire une rencontre extraordinaire qu'elle ne sera pas prête à oublier.
Commence pour elle, un grand voyage magique entre imaginaire et réalité.
*
C'est une histoire, pleine de bons sentiments, tendre, fraiche, naïve et innovante par son côté fantastique et mythologique. Où Elisabeth est devenue en un soir, l'héroïne d'un conte des Mille et Une Nuits, avec pour lampe merveilleuse, cette drôle de machine à souhait.
Après avoir lu Cathy, Christina, Irène, Laure et Véronique, j'ai voulu découvrir les talents littéraires de Virginie Hendrickx.
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L'auteure liégeoise écrit depuis son plus jeune âge. Et j'ai reçu la confidence que « Une semaine pour t'aimer » fut écrit lorsque Virginie était adolescente.
Le roman est plutôt bien réussi.
L'auteure s'est faite narratrice d'Elisabeth, une jeune étudiante pleine d'espérance et le personnage central du roman.
Son histoire est celle d'un rêve des jeunes filles de son âge, avec un Prince Charmant qu'elle espère rencontrer et une grande histoire d'amour qu'elle souhaite ardemment vivre.
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Elisabeth est une jeune fille studieuse et sage qui suit des cours à l'Université.
Mais aujourd'hui, elle est pleine de colère, d'amertume et de désillusions car un garçon lui a griffé son petit coeur tout tendre.
Un certain Blaise, qu'elle surnomme plus le « Blaireau », s'était comporté avec elle d'une manière très rustre et malhonnête. Après lui avoir fait croire qu'il avait des sentiments pour elle, il la jeta comme une vieille chaussette sans aucun remord.
Blessée dans son âme, Elisabeth ne peut s'empêcher de ressasser cette rupture brutale. Elle ne sort plus, s'enferme dans sa chambre et ne veut plus voir personne.
C'est alors que poussée par sa meilleure amie Lola, elle accepte de venir avec elle et d'autres amis à la fête foraine.
Elisabeth découvre par hasard, à côté d'un stand de tir, une vieille machine à Souhait.
Sans trop y croire, elle glisse quelques pièces et fait un voeu.
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C'est dans la nuit que des événements étranges vont se manifester auprès à la jeune fille.
Elisabeth va alors faire une rencontre extraordinaire qu'elle ne sera pas prête à oublier.
Commence pour elle, un grand voyage magique entre imaginaire et réalité.
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C'est une histoire, pleine de bons sentiments, tendre, fraiche, naïve et innovante par son côté fantastique et mythologique. Où Elisabeth est devenue en un soir, l'héroïne d'un conte des Mille et Une Nuits, avec pour lampe merveilleuse, cette drôle de machine à souhait.
