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Critique de Fifrildi


Le Dragon et le Georges est le premier tome du cycle du chevalier dragon (Dragon Knight) écrit par Gordon R. Dickson entre 1976 et 2000.

Tout le monde sait ce qu'est un dragon, mais un « georges » ? Dans l'histoire, il s'agit d'un humain. Il y a une référence incontestable au mythe de saint Georges et le dragon. D'ailleurs le premier roman est basé sur la nouvelle « St. Dragon and the Georges » (du même auteur, je précise).

Avant de poursuivre ma lecture du cycle, j'avais envie de revenir à la légende originelle.

Je ne me suis intéressée qu'à quelques chapitres, je l'ai plus feuilleté que lu. Il y a beaucoup de photographies et des reproductions d'oeuvres d'art.

Ce serait le livre La Légende dorée (1270) qui aurait rendu si célèbre cette histoire qui est entrée dans l'imaginaire collectif. Mais « Saint Georges a-t-il vraiment existé ? » Comme dans toutes les légendes, un « noyau historique authentique » n'est pas a exclure mais les historiens restent dans le doute.

J'ai lu que sa légende avait été mise à l'index lors du concile de Nicée de 787. Quoi qu'il en soit, 1200 ans plus tard, elle est toujours bien présente en Belgique à la ducasse de Mons (le Doudou) où, chaque année, Saint Georges terrasse le dragon.

Saint Georges et le dragon était représenté sur le Blason des Romanov, il y a même une version hindoue où la vierge porte un sari et Saint Georges est looké en maharadja. Bref, il a du succès le Georges !
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