Les dystopies foisonnent dans les librairies et je n'ai pas honte de le dire : j'adore ça ! Souvent pour se faire peur, découvrir un monde complètement différent qui pourrait hypothétiquement devenir le nôtre fait froid dans le dos (je ne vais plus regarder les papillons avec le même oeil maintenant)
Dans
Papillons de nuit, les hommes sont décimés par les petits filaments laissés dans l'air par ces petites bêtes et, dans 50% des cas, meurent ou alors deviennent des maniacos : sortes de zombies hystériques et ultra-violent, prêts à tout pour faire la peau des femmes, elles, restées saines d'esprit.
Le pitch était accrocheur, je l'ai lu assez rapidement mais malheureusement, le dénouement se fait très (trop) vite, c'est presque bâclé, et c'est bien dommage !