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Critique de terrystad
Longue litanie des systèmes des gouvernances dans ce tome. Lente mais nécessaire pour bien sentir la suite dans la « 2e partie » de ce 4e tome (700 pages) de cette saga de Dune.
« La religion mène inévitablement au despotisme rhétorique, déclara Leto (empereur-Dieu). Avant le Bene Gesserit, les Jésuites étaient passés maître en la matière. »
Clin d'oeil à la communauté gay dans ce tome 4. Peut-être qu'au moment de sa publication, ce clin d'oeil a été bien perçue par la communauté gay mais aujourd'hui, cette manière de voir, de comprendre, serait perçue comme vieillotte par la communauté LGBTQI2+.
J'ai moins aimé ce tome que les antérieurs. Mais je demeure motivé à poursuivre ma lecture de cette grande oeuvre de la science fiction.
« La religion mène inévitablement au despotisme rhétorique, déclara Leto (empereur-Dieu). Avant le Bene Gesserit, les Jésuites étaient passés maître en la matière. »
Clin d'oeil à la communauté gay dans ce tome 4. Peut-être qu'au moment de sa publication, ce clin d'oeil a été bien perçue par la communauté gay mais aujourd'hui, cette manière de voir, de comprendre, serait perçue comme vieillotte par la communauté LGBTQI2+.
J'ai moins aimé ce tome que les antérieurs. Mais je demeure motivé à poursuivre ma lecture de cette grande oeuvre de la science fiction.
