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Critique de NicolaK
Dernier roman de la trilogie des Rats. Petit pavé de 470 pages dans lequel James Herbert exploite le filon de la Troisième Guerre mondiale, l'apocalypse nucléaire. Londres bombardé, bien entendu quelques survivants, et surtout un personnage invincible : Steve Culver. Sans super-pouvoirs ni rien, avec une simple hache, il massacre à qui mieux mieux tandis que les rats exterminent allègrement les troupes lourdement armées. Ouais, pourquoi pas.
Les rats veulent la peau des humains qui ont bien du mal à s'en sortir, les bombes qui se déchaînent, et par-dessus le marché, les survivants qui s'entretuent aussi, histoire de pimenter le tout. En gros, tout le monde veut tuer tout le monde.
La plume de l'auteur ne faiblit pas et nous embarque encore une fois facilement, on s'attache aux personnages fort bien décrits. Un très bon bouquin.
Les rats veulent la peau des humains qui ont bien du mal à s'en sortir, les bombes qui se déchaînent, et par-dessus le marché, les survivants qui s'entretuent aussi, histoire de pimenter le tout. En gros, tout le monde veut tuer tout le monde.
La plume de l'auteur ne faiblit pas et nous embarque encore une fois facilement, on s'attache aux personnages fort bien décrits. Un très bon bouquin.
