Un couple marche hébété dans un décor d'apocalypse. Ils ont entendu parler de Paradize, une mythique zone de bonheur. Pour s'y rendre, il leur faudra payer des passeurs. Et les passeurs, eux travaillent pour un chef sanguinaire aux membres coupés.
La graphie d'Hermann correspond totalement à l'esprit de cette dystopie. Les teintes blafardes créaient un climat angoissant. Certains personnages sont figés. On est proche de l'univers de certaines BD de
Enki Bilal. Impressionnant et glaçant.
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