Ceci est déjà le 3ème roman de cet auteur espagnol que je lis, après
La Partition et
Virtual.
Et je peux continuer à proclamer combien je l'apprécie!
La seule critique du livre sur Babelio est de Bookycooky qui m'a déjà fait découvrir tant de livres... Et je dois bien avouer qu'elle a tapé dans le mille en y trouvant du Kafka.
Une dette sans fin avec une spirale de soumission volontaire, de volonté d'amener les autres à la perfection, une mémoire phénoménale, tant de raison menant finalement à la folie, à moins que cette folie ne soit l'élément déclencheur initial? Comme souvent chez
Felipe Hernandez, toutes les clés ne sont pas dévoilées, nous laissant interpréter comme bon nous semble ce qui est en filigrane.
Une lecture très fluide qui participe pour beaucoup au plaisir de ce livre (ce n'était pas forcément le cas des 2 autres romans de l'auteur que j'ai déjà lus).
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