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Critique de Tigo
Thriller sans prétention.
Laurie Amhadi est répartitrice au 911 (urgences américaines). Un jour elle reçoit un appel de sa propre fille Jojo. Celle-ci est droguée, dans un lieu inconnu. le temps est compté pour la retrouver.
Je ressors mitigée de cette lecture. En effet, j'ai trouvé que ce thriller manquait de rythme. Il démarre sur les chapeaux de roue mais ensuite il piétine durant 150 pages, pour finir trop rapidement. de plus, l'autrice s'est contentée d'un style efficace, ce qui rend l'écriture plate.
Un autre gros problème demeure. L'autrice est totalement manichéenne. En effet, pour elle soit les personnages sont bons, soit ils sont mauvais. de plus elle aborde maladroitement certaines thématiques de société (Homophobie, féminisme, racisme, violences policières). En soit je trouve que c'est une bonne chose d'aborder ces thématiques, surtout dans la société américaine qui est très inégalitaire, mais dans ce roman j'avais l'impression qu'elle répondait à un cahier des charges. J'avais donc l'impression à la fin que tous les personnages LGBT+ était bons face aux méchants policiers. C'est une vision très caricaturale de la société. La réalité comporte plus de nuances.
En bref, un thriller qui avait un bon scénario de départ, mais qui s'est englué dans de nombreuses fausses notes. Vite lu, vite oublié.
Laurie Amhadi est répartitrice au 911 (urgences américaines). Un jour elle reçoit un appel de sa propre fille Jojo. Celle-ci est droguée, dans un lieu inconnu. le temps est compté pour la retrouver.
Je ressors mitigée de cette lecture. En effet, j'ai trouvé que ce thriller manquait de rythme. Il démarre sur les chapeaux de roue mais ensuite il piétine durant 150 pages, pour finir trop rapidement. de plus, l'autrice s'est contentée d'un style efficace, ce qui rend l'écriture plate.
Un autre gros problème demeure. L'autrice est totalement manichéenne. En effet, pour elle soit les personnages sont bons, soit ils sont mauvais. de plus elle aborde maladroitement certaines thématiques de société (Homophobie, féminisme, racisme, violences policières). En soit je trouve que c'est une bonne chose d'aborder ces thématiques, surtout dans la société américaine qui est très inégalitaire, mais dans ce roman j'avais l'impression qu'elle répondait à un cahier des charges. J'avais donc l'impression à la fin que tous les personnages LGBT+ était bons face aux méchants policiers. C'est une vision très caricaturale de la société. La réalité comporte plus de nuances.
En bref, un thriller qui avait un bon scénario de départ, mais qui s'est englué dans de nombreuses fausses notes. Vite lu, vite oublié.
