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Critique de bdelhausse


Masato Hisa passe la surmultipliée. On s'enfonce très rapidement dans un grand chaos, un maelstrom de divinités et de créatures surnaturelles.

On apprend d'abord la vraie nature du prisonnier que McCoy a fait s'échapper de prison au terme du tome 3. Il s'agit du serpent originel. le serpent de tous les serpents. Celui qui est présent dans toutes les mythologies, dans toutes les cosmogonies divines. Cela justifie la réunion toutes affaires cessantes du Conseil des Dix Dieux... car l'heure est grave. le serpent originel peut leur nuire. D'ailleurs, la réunion dans le même lieu de l'épée fichée dans le corps de McCoy et du serpent originel est un élément apte à déstabiliser l'Area 51...

Au terme d'un face-à-face entre McCoy et le serpent, dans lequel vient se mêler l'armée américaine et Amateratsu, les choses se calment temporairement par la disparition du serpent. Les enjeux sont grands. Les menaces énormes.

Ces événements sont repris dans les deux premières histoires du tome.

Les deux suivantes concernent une enquête de McCoy dans un univers en apparence plus léger: les contes de fée, les nains (7 qui portent les noms des mercenaires du film), Blanche-Neige, le Prince Charmant... Hisa bouscule tout, remélange les cartes et au terme d'une aventure assez complexe (mais moins que dans les deux premiers récits), McCoy a un nouvel associé: le Prince Charmant.

Dessin toujours impeccable avec un poil de conformisme en plus. Pas plus mal. BD addictive.
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