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Critique de LeslecturesdeGuimauve
Ça faisait un moment que je cherchais un roman gore, trash, cruel, sombre (oui, oui tout va bien dans ma tête...) et bien j'ai été servie !!!
Ça commence très fort et j'ai été happée par la première moitié du livre, impossible de le lâcher (j'avais trop peur d'Aldo...)
Aldo d'ailleurs, parlons en. Ce personnage complètement...dérangé, qui a un travail des plus originaux : torturer les gens.
Mais, ce n'est pas un acte gratuit dans le sens où ses victimes donnent leur "consentement".
Aldo prend un malin plaisir à s'occuper de "ses candidats", il déborde d'imagination, n'a aucune limite (pour le plus grand malheur de ses victimes) et n'a aucune pitié ou compassion pour elles.
Sur la deuxième partie du roman, on en apprend plus sur lui, sur la façon dont il est devenu Aldo. Un aspect psychologique intéressant à lire.
On en apprend également davantage sur le candidat d'Aldo et ce qui l'a mené à lui.
J'ai beaucoup aimé ce roman à la première personne, je trouve ça tellement plus immersif. Aldo fait un monologue mais j'avais vraiment l'impression qu'il s'adressait à moi.
Malgré des scènes assez difficiles à lire, j'ai trouvé l'écriture fluide et intense.
Mais, ce roman est bien trop court. Il fait moins de 150 pages et je pense que pour bien faire (surtout pour la deuxième partie plus centrée sur la psychologie d'Aldo et le pourquoi du comment de l'histoire), l'auteure aurait pu développer davantage et rajouter une bonne centaine de pages.
En bref : un roman qui fait froid dans le dos, j'espère vraiment que ce genre de personne n'existe pas. Ce roman n'a pas été un coup de coeur mais il fût malgré tout "agréable" à lire
Ça commence très fort et j'ai été happée par la première moitié du livre, impossible de le lâcher (j'avais trop peur d'Aldo...)
Aldo d'ailleurs, parlons en. Ce personnage complètement...dérangé, qui a un travail des plus originaux : torturer les gens.
Mais, ce n'est pas un acte gratuit dans le sens où ses victimes donnent leur "consentement".
Aldo prend un malin plaisir à s'occuper de "ses candidats", il déborde d'imagination, n'a aucune limite (pour le plus grand malheur de ses victimes) et n'a aucune pitié ou compassion pour elles.
Sur la deuxième partie du roman, on en apprend plus sur lui, sur la façon dont il est devenu Aldo. Un aspect psychologique intéressant à lire.
On en apprend également davantage sur le candidat d'Aldo et ce qui l'a mené à lui.
J'ai beaucoup aimé ce roman à la première personne, je trouve ça tellement plus immersif. Aldo fait un monologue mais j'avais vraiment l'impression qu'il s'adressait à moi.
Malgré des scènes assez difficiles à lire, j'ai trouvé l'écriture fluide et intense.
Mais, ce roman est bien trop court. Il fait moins de 150 pages et je pense que pour bien faire (surtout pour la deuxième partie plus centrée sur la psychologie d'Aldo et le pourquoi du comment de l'histoire), l'auteure aurait pu développer davantage et rajouter une bonne centaine de pages.
En bref : un roman qui fait froid dans le dos, j'espère vraiment que ce genre de personne n'existe pas. Ce roman n'a pas été un coup de coeur mais il fût malgré tout "agréable" à lire
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