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Faute de pouvoir s'y rendre _il faudrait pour ce faire que leurs dragons puissent voler, les gardiens s'installent aux abords de la Cité ; enfin mis en sécurité, ils peuvent tenter de se projeter dans l'avenir et comptent beaucoup sur les conseils de Kanaï et Gringalette, déjà familiers des lieux.
Alise reprend ses recherches, même si elle n'a plus vraiment de quoi écrire, tandis que le capitaine Leftrin et le Mataf font machine arrière en direction de Cassaric pour se réapprovisionner en nourriture, vêtements, encre et autres produits de première nécessité. La femme de Hest Finbok refuse de l'accompagner dans son voyage, car elle sait bien que le passage du marin aguerri dans la société des Marchands, même bref, va susciter l'attention des curieux. A son retour, il sera sans doute suivi de vaisseaux pilotés par des requins prêts à tout pour piller la cité sacrée afin de s'en mettre plein les poches.
Thymara galère toujours autant avec Sintara. La dragonne caractérielle aimerait voler de ses propres ailes, vexée de voir sa gardienne enfourcher la Gringalette de Kanaï pour aller se promener dans la Cité. Or, pour apprendre à voler, il faut s'entraîner et prendre le risque de chuter ! Sintara est beaucoup trop fière et, par crainte du ridicule, elle préfère clamer qu'elle se moque totalement de ne pouvoir passer par dessus le ravin qui sépare le campement de Kelsingra.
Ce cinquième opus des Cités des Anciens, on quitte le "huis clos" formé par les gardiens, les dragons et l'équipage du Mataf, pour renouer avec des personnages que nous avions perdu de vue depuis le tome 2. A mon avis, Robin Hobb a été bien inspirée de changer le décor au moment où on commencer à tourner en rond et à devenir aussi chèvres que les aventuriers du Fleuve !
Lien : http://pulco-suivezlepapillo..
Critique de Javableue
Faute de pouvoir s'y rendre _il faudrait pour ce faire que leurs dragons puissent voler, les gardiens s'installent aux abords de la Cité ; enfin mis en sécurité, ils peuvent tenter de se projeter dans l'avenir et comptent beaucoup sur les conseils de Kanaï et Gringalette, déjà familiers des lieux.
Alise reprend ses recherches, même si elle n'a plus vraiment de quoi écrire, tandis que le capitaine Leftrin et le Mataf font machine arrière en direction de Cassaric pour se réapprovisionner en nourriture, vêtements, encre et autres produits de première nécessité. La femme de Hest Finbok refuse de l'accompagner dans son voyage, car elle sait bien que le passage du marin aguerri dans la société des Marchands, même bref, va susciter l'attention des curieux. A son retour, il sera sans doute suivi de vaisseaux pilotés par des requins prêts à tout pour piller la cité sacrée afin de s'en mettre plein les poches.
Thymara galère toujours autant avec Sintara. La dragonne caractérielle aimerait voler de ses propres ailes, vexée de voir sa gardienne enfourcher la Gringalette de Kanaï pour aller se promener dans la Cité. Or, pour apprendre à voler, il faut s'entraîner et prendre le risque de chuter ! Sintara est beaucoup trop fière et, par crainte du ridicule, elle préfère clamer qu'elle se moque totalement de ne pouvoir passer par dessus le ravin qui sépare le campement de Kelsingra.
Ce cinquième opus des Cités des Anciens, on quitte le "huis clos" formé par les gardiens, les dragons et l'équipage du Mataf, pour renouer avec des personnages que nous avions perdu de vue depuis le tome 2. A mon avis, Robin Hobb a été bien inspirée de changer le décor au moment où on commencer à tourner en rond et à devenir aussi chèvres que les aventuriers du Fleuve !
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