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Critique de cicou45


Qui dit deux romans au sein d'un même livre dit forcément deux critiques, logique non ?
Bref, commençons par la première, celle du roman "Un noël dans ses bras" de Sarah Morgan.
Pour être tout à fait franche avec vous, j'ai acheté cet ouvrage sur un coup de tête, parce que j'avais tout simplement "flashée" sur la couverture" avec ses paillettes et ses couleurs attrayantes. le titre également m'a plu, moi qui est toujours été une éternelle enfant (bon d'accord je ne suis pas encore très vieille puisque je vais avoir trente ans le 28 janvier mais bon, toujours est-il que moi aussi j'adore la neige, la période de Noël, les cadeaux sous le sapin et autre bêtises dans ce genre). Alors voilà pourquoi je me suis laissé tentée par cet ouvrage, sans même m'être rendu compte qu'il s'agissait d'un ouvrage publié par "Harlequin". Moi qui est toujours été assez répulsive à cette collection car pour moi, qui disait Harlequin, disait littérature exclusivement basée sur des histoires d'amour à deux sous et rempli de scènes de sexe (et pour ceux qui me connaissent un peu, ils savent que je suis extrêmement sensible à ce genre de descriptions). Ou encore, comme le disaient mes profs de fac, c'est de la sous-littérature. Personnellement, je ne pense pas qu'il y ait de sous-littérature et de littérature honorable et je respecte entièrement les gens qui ne lisent que ce genre de livres car ils ont un mérite...celui de lire ! Quant à moi, même s'il est vrai que je n'en lirai pas tous les jours, je suis très contente d'avoir lu mon premier "Harlequin", histoire de mourir moins bête et surtout, je n'ai pas honte de l'avouer, parce que j'ai passé un très bon moment en lisant cette première histoire. Certes, c'est vraiment une histoire d'amour plus qu'improbable mais cela fait rêver et j'avoue qu'en ce moment, j'en avais besoin car j'ai passé une année 2013 assez difficile donc je ne regrette pas de m'être laissée entraînée dans cette lecture.

Un milliardaire, Rio Zaccarelli, un homme à femmes, obsédé par son travail, acariâtre et égoïste, détestant les périodes de Noël, qui tombe amoureux d'une femme de chambre, Evie qui est son extrême opposé, à savoir une femme qui a conservé son âme d'enfant, douce et parfois un peu trop naïve (un peu comme moi en fait)...vous y croyez-vous ? Et après tout, pourquoi pas ? C'est bientôt Noël, il faut bien rêver un peu, non ?

Une histoire dont le lecteur sait d'avance le dénouement de l'histoire mais cela ne fait rien, il continue car quelques petites surprises l'attendent en chemin. Un roman bien écrit (comme quoi, il ne faut pas croire tout ce que l'on nous raconte) et qui nous plonge déjà dans la magie de Noël !


Bon, passons donc à la deuxième critique concernant ce roman, celle qui concerne la deuxième histoire, à savoir "Noël en Alaska de Kate Hoffmann.
Hawk, Joe et Tanner sont trois homme résidant à Seattle qui décident un bon jour, de tout quitter (bon d'accord ils n'ont pas d'enfants et son célibataires) mais abandonnent néanmoins leur travail ainsi que leur vie citadine pour s'installer dans un petit village perdu au fin fond de l'Alaska. Leur nouveau lieu de résidence : une modeste auberge que Tanner a hérité de son grand-père près du village de Muleshoe. Ils décident alors de rebaptiser ce lieu "L'auberge des 3 célibataires", selon une très vieille légende qui disait que le jour où une femme pénétrerait dans ce lieu, elle se marierait avec l'un des trois célibataires. N'est-ce tout simplement qu'une vielle légende où celle-ci serait-elle sur le point de se réaliser lorsque Julia débarque tout droit de Chicago afin de récupérer son fils Sam, âgé de huit ans, qui s'est retrouvé chez les trois hommes après avoir fugué de chez lui avec la ferme intention de se rendre au Pôle Nord pour rencontrer le Père Noël...
Une histoire complètement tirée par les cheveux mais avec de l'amour avec un grand A au rendez-vous, donc, on y croit...enfin, plus ou moins !

Nous retrouvons donc dans ce livre deux histoires qui nous donneraient presque envie de croire à nouveau au Père Noël. D'ailleurs, qui a dit qu'il n'existait pas ? Un ouvrage à l'écriture très légère (un peu trop parfois) mais cela ne fait rien, on a envie d'aller jusqu'au bout...A découvrir !
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