C'est un peu comme
Knut Hamsun : la sensibilité est là, mais ça traîne en longueurs. La nouvelle du « Petit cheval » reste la plus trépidante, la plus émouvante aussi, comme d'habitude un témoignage de looser pour loosers, et l'identification fonctionne. Mais leur problème, aux loosers, c'est de n'être jamais vraiment là au moment où ils enclenchent la machine à paroles. Et chaque looser reste dans son coin jusqu'à la fin des temps. C'est ainsi que ça fonctionne.
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