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Critique de Alfaric


Dans "Et le popotin se retourna", Ryo découvre que va venir au Japon le top model étranger dont tout le monde parle et sur lequel il a complètement flashé : pas de bol pour lui, il s'agit d'une dénommée Rosemary Moon qui en sait long sur lui et vient semer la zizanie entre lui et Kaori… Bloody Mary se présente comme l'ancienne partenaire de City Hunter, mais elle est en fait la fille de l'ancienne partenaire de City Hunter. Alors Tsukasa Hojo a décidé de donner une « origin story » à son « problem solver » : ce n'était pas nécessaire, et comme il va constamment la réécrire plus il s'acharne plus il se plante, et pour la bonne histoire de Bloody Mary va être gâchée par le fait que le mangaka va se plagier lui-même en racontant peu ou prou la même histoire quelques tomes plus tard ! Car Bloody Mary est ici obligé de tuer Ryo Saeba son ancien mentor car son manager et fiancé a été enlevé par David Clive le terroriste de l'enfer qui veut se venger d'eux, un méchant random qui n'existe que parce qu'il en faut un pour que l'intrigue avance (soupirs)… Kaori fait équipe avec Bloody Mary, et Ryo fait équipe avec Falcon, bastons, gunfights, exploz et tout est bien qui finit bien quand City Hunter joue les cupidons pour remettre en couple la tueuse à gage reconvertie en top model et le photographe de mode qui l'avait révélée avant de les faire disparaître pour qu'ils vivent leur amour pleinement et tranquillement. On aurait pu avoir une nouvelle Nikita, mais le mangaka ne sort pas du cahier des charges de la série et c'est bien dommage !

Dans "Un Python 357 pour la demoiselle", City Hunter est engagé comme professeurs par Aïko Kamikura une étudiante qui veut absolument devenir une véritable détective privée… La jeune femme s'avère être une surdouée du tir, se transformant en dure à cuir caractérielle sous l'emprise de l'alcool, et malgré son affaire la plus banale du monde (retrouver un chien perdu) elle reçoit de réelles menaces : To Be Continued !
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