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Critique de Alfaric


Un peu déçu par la suite et la fin de l'arc consacré à Yuki Minagawa. C'est frais c'est rigolo, il y a même un jolie idée derrière la fleur aristocratique élevée sous serre qui veut découvrir « la vraie vie », mais au lieu d'un Ryo Saeba passant de garde du corps à coach de vie peut-être aurait-il été préférable pour changer de mettre en avant tous les malfrats en pâmoison devant la pure et naïve jeune fille… Mais le mangaka offre une très jolie fin à tout cela !
Le récit suivant intitulé "Les Rives du souvenir" est très bien, c'est peut-être l'un des meilleurs de la saga "City Hunter"… Ryo et Kaori sont engagés par un promoteur cinématographique agent pour protéger les 20 candidates d'un casting pour un film menacés par un mystérieux individu, mais c'est Kaori qui récupère le rôle d'assistant (et les candidates belles-gosses la prennent pour un héros de shojo beau-gosse ^^) et qu c'est Ryo qui récupère le rôle de gouvernante (et les candidates belles-gosses l'identifient immédiatement comme un obsédé). Toujours est-il que Ryo prend sous son aile la seule candidate qui ne soit pas là pour l'argent : Etsuko Kashima 16 ans, en manque de figure paternelle, souhaite profiter du casting pour rencontrer le réalisateur Yôichi Shibata son père biologique qui n'est pas au courant de son existence en raison de tragiques circonstances… Une belle histoire bien racontée, et entre action et émotion j'ai bien aimé le running gag de Kaori que tout le monde prend pour un héros de shojo, un travesti ou un transsexuel ^^
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