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Critique de nekomusume
Allez je le relis vite fait en diagonale pour faire ma critique...
Résultat, happée par l'histoire et le style vivant de Hojo j'ai tout relu.. avec grand plaisir.
Parfois présenté comme un City Hunter au féminin, cette histoire n'a que peu de points commun avec celle de mon garde du corps préféré.
Yûki est une Jeune femme dynamique, médecin accomplie, petite-fille de médecin, fille d'un maître de Kempô (art de combat au poing) qui lui a tout appris... et catastrophe ambulante de surcroît. Elle revient dans sa ville natale pour succéder à sa grand mère comme médecin de la prison, pour le malheur de Tatsumi, inspecteur de police, ami d'enfance, souffre-douleur et amoureux transi. Seulement Yûki n'est pas revenu uniquement par plaisir mais parce que l'amour de sa vie est emprisonné dans la le centre pénitentiaire. Cet homme, son professeur, est aussi en assassin qui croit que le seul moyen de guérir définitivement les gens est de supprimer la cause de leur pathologie, en allant jusqu'au meurtre si nécessaire. Yûfi va s'acharner à lui démontrer qu'un médecin peut guérir durablement sans aller jusqu'au meurtre.
Un e comédie burlesque en deux volumes avec des personnages attachants et hilarants mais qui n'empêche pas Hojo de distiller (à petite doses certes) des moments plus graves.
Résultat, happée par l'histoire et le style vivant de Hojo j'ai tout relu.. avec grand plaisir.
Parfois présenté comme un City Hunter au féminin, cette histoire n'a que peu de points commun avec celle de mon garde du corps préféré.
Yûki est une Jeune femme dynamique, médecin accomplie, petite-fille de médecin, fille d'un maître de Kempô (art de combat au poing) qui lui a tout appris... et catastrophe ambulante de surcroît. Elle revient dans sa ville natale pour succéder à sa grand mère comme médecin de la prison, pour le malheur de Tatsumi, inspecteur de police, ami d'enfance, souffre-douleur et amoureux transi. Seulement Yûki n'est pas revenu uniquement par plaisir mais parce que l'amour de sa vie est emprisonné dans la le centre pénitentiaire. Cet homme, son professeur, est aussi en assassin qui croit que le seul moyen de guérir définitivement les gens est de supprimer la cause de leur pathologie, en allant jusqu'au meurtre si nécessaire. Yûfi va s'acharner à lui démontrer qu'un médecin peut guérir durablement sans aller jusqu'au meurtre.
Un e comédie burlesque en deux volumes avec des personnages attachants et hilarants mais qui n'empêche pas Hojo de distiller (à petite doses certes) des moments plus graves.
