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Critique de polarjazz
Ce qui initie mon intérêt pour un livre est la première de couverture. Ici, c'est la représentation en couleurs de Pouillot fitis nourrissant ses petits dans la campagne anglaise. Les couleurs sont sages. C'est reposant. Je pourrais passer des heures à contempler les dessins qui fleurissent dans ces pages. Edith Holden nous offre un magnifique journal champêtre de l'année 1906, cinq ans avant son décès, en se noyant dans la Tamise en cueillant des chatons de châtaignier. En douze mois, Edith Holden nous fait découvrir la flore et la faune anglaise.
Premièrement, elle nous apprend d'où vient le nom de chaque mois et sa signification, les dates importantes et quelques dictons. « Brouillard en janvier Année mouillée ». Ensuite, elle répartit son ouvrage entre la chronique de cette année 1906 - où déjà la douceur et la chaleur sont mentionnées - et ses dessins de fleurs, de feuilles d'arbres, de champignons, d'oiseaux et de papillons en une sorte d'herbier naturaliste. Elle a un trait sûr et précis. C'est poétique. C'est un livre à offrir qui fera certainement plaisir.
Premièrement, elle nous apprend d'où vient le nom de chaque mois et sa signification, les dates importantes et quelques dictons. « Brouillard en janvier Année mouillée ». Ensuite, elle répartit son ouvrage entre la chronique de cette année 1906 - où déjà la douceur et la chaleur sont mentionnées - et ses dessins de fleurs, de feuilles d'arbres, de champignons, d'oiseaux et de papillons en une sorte d'herbier naturaliste. Elle a un trait sûr et précis. C'est poétique. C'est un livre à offrir qui fera certainement plaisir.
