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Critique de Phoenicia
Entre larmes et rires durant toute la matinée, j'ai découvert ce troisième opus des aventures de Camille, une Bridget Jones à la française.
Un récit aussi émouvant que le fut à mes yeux la 2e aventures, même si c'est pour une tout autre raison.
En effet, Ewen est décédé depuis trois ans. Camille s'est repliée sur elle-même, ne s'ouvrant quasiment plus au monde, tout à son chagrin. Mais le sort ne l'abandonne pas et alors qu'elle doit quitter ce qui était leur chez-eux, Camille tombe sur un carnet de notes de son amoureux. Pot pourri de toutes ses réflexions, on y trouve aussi des envies. Or, Camille L interprète comme un signe : celui de s'ouvrir de nouveau au monde et en cela elle commence par suivre les envies de son amour perdu. Les signes se succèdent, de même que des aventures que seules une personnalité comme Camille peut connaître et qui la mèneront au Mexique au moment de Los Dia de Muertos.
Comme les deux premiers, l'écriture est fluide et la plume est bourrée d'humour mais aussi d'une exquise sensibilité, si bien qu'on passe facilement du rire aux larmes et qu'on lit cette lecture d'une traite. Jusqu'au bout, ce titre m'a émue, que ce soit par le deuil traversé, la manière d'y faire face et de se reconstruire, cette invitation au carpe diem.
Aux amateurs de feel-good, je vous recommande cette série française. de mon côté, j'espère qu'on n'en restera pas là avec Camille et qu'au contraire Céline Holynski saura être inspirée pour nous concocter de nouvelles aventures aussi rafraîchissantes qu'émouvantes.
Un récit aussi émouvant que le fut à mes yeux la 2e aventures, même si c'est pour une tout autre raison.
En effet, Ewen est décédé depuis trois ans. Camille s'est repliée sur elle-même, ne s'ouvrant quasiment plus au monde, tout à son chagrin. Mais le sort ne l'abandonne pas et alors qu'elle doit quitter ce qui était leur chez-eux, Camille tombe sur un carnet de notes de son amoureux. Pot pourri de toutes ses réflexions, on y trouve aussi des envies. Or, Camille L interprète comme un signe : celui de s'ouvrir de nouveau au monde et en cela elle commence par suivre les envies de son amour perdu. Les signes se succèdent, de même que des aventures que seules une personnalité comme Camille peut connaître et qui la mèneront au Mexique au moment de Los Dia de Muertos.
Comme les deux premiers, l'écriture est fluide et la plume est bourrée d'humour mais aussi d'une exquise sensibilité, si bien qu'on passe facilement du rire aux larmes et qu'on lit cette lecture d'une traite. Jusqu'au bout, ce titre m'a émue, que ce soit par le deuil traversé, la manière d'y faire face et de se reconstruire, cette invitation au carpe diem.
Aux amateurs de feel-good, je vous recommande cette série française. de mon côté, j'espère qu'on n'en restera pas là avec Camille et qu'au contraire Céline Holynski saura être inspirée pour nous concocter de nouvelles aventures aussi rafraîchissantes qu'émouvantes.
