En 1988, un an avant la chute du mur de Berlin, une jeune tchécoslovaque décide (le décide-t-elle seule ?) de rester en France après un séjour de vacances. Elle vit dans un café où l'a conduite un femme mystérieuse, prénommée Grofka. Elle s'éprend d'un peintre, d'où le titre du récit.
Nous faisons la connaissance de plusieurs personnages aux caractères affirmés, venus de divers points de la planète, tous différents et qui feront l'éducation française de la jeune femme.
Ce roman représente à mon avis un hymne à la liberté, contre toutes les dictatures, de quelques bords qu'elles soient. Il est empreint de poésie et magnifie l'art, l'autrice étant aussi peintre.
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