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Critique de florencem
Probablement le tome le plus gore depuis le début de la saga… On pouvait s'y attendre vu la fin du tome quatorze mais là, c'est assez insoutenable à certains moments. Sans compter que j'ai l'impression que la mangaka fait payer, en un sens, les erreurs des Exorcistes et surtout de leur commandement. Ils pensaient tous pouvoir s'accaparer le petit jouet du Comte Millénaire sans aucune représailles ? Très naïf ou alors très orgueilleux. Peut-être que l'euphorie du moment les a rendus aveugles, je ne sais pas mais j'ai eu l'impression de faire face à des amateurs sur ce coup-là. Et ils le payent très cher.
Un des enfants de Noé vient donc récupérer le bien de « papa » et c'est le carnage. Nos exorcistes sont tous blessés et les trois quart sont sans leur innocence. Autant dire que personne, mis à part les maréchaux, n'est capable de faire face. le combat est rude, sans pitié. Certes les Maréchaux nous envoient du rêve. Ils sont classes et c'est très sympa de voir des Exorcistes de ce niveau se battre, mais on en reste au même point. Un combat pour « rien » dans le sens où il aurait pu être évité.
Le pire, car oui, l'auteur est sadique (que voulez-vous) c'est qu'au moment où l'on se dit : c'est bon, ils en ont pris plein la poire mais ils ont réussi à s'en sortir (plus ou moins) un akuma de type 4 apparait. le pire truc qu'ils aient jamais vu… Mais pourquoi ??? Cinq tomes voire plus, je m'en rappelle plus, à se battre et à se faire laminer par les enfants de Noé. Un demi-tome de « repos » et bam, rebelote ! Ok, dans un shonen, les super méchants sont là pour aider nos héros à monter en puissance. Je connais la chanson, mais il faut aussi penser aux petits coeurs de ses lecteurs !
On se retrouve donc avec des personnages acculés dans tous les sens du terme. Des choix difficiles à faire, des non-retours qui bien sûr sont très intéressants du point de vue du scénario mais qui nous plongent tout de même dans une sorte de dépression, un cercle vicieux dont on ne voit pas le bout… On ne s'ennuie pas, on angoisse tellement à chaque page qu'il est difficile de tourner les pages, même si comme toujours, il y a un peu d'humour par-ci, par-là. Une lueur d'espoir nous apparait à la fin mais elle est viciée par les conséquences qu'elle pourrait avoir… Mais vivement le tome seize quand même !
Un des enfants de Noé vient donc récupérer le bien de « papa » et c'est le carnage. Nos exorcistes sont tous blessés et les trois quart sont sans leur innocence. Autant dire que personne, mis à part les maréchaux, n'est capable de faire face. le combat est rude, sans pitié. Certes les Maréchaux nous envoient du rêve. Ils sont classes et c'est très sympa de voir des Exorcistes de ce niveau se battre, mais on en reste au même point. Un combat pour « rien » dans le sens où il aurait pu être évité.
Le pire, car oui, l'auteur est sadique (que voulez-vous) c'est qu'au moment où l'on se dit : c'est bon, ils en ont pris plein la poire mais ils ont réussi à s'en sortir (plus ou moins) un akuma de type 4 apparait. le pire truc qu'ils aient jamais vu… Mais pourquoi ??? Cinq tomes voire plus, je m'en rappelle plus, à se battre et à se faire laminer par les enfants de Noé. Un demi-tome de « repos » et bam, rebelote ! Ok, dans un shonen, les super méchants sont là pour aider nos héros à monter en puissance. Je connais la chanson, mais il faut aussi penser aux petits coeurs de ses lecteurs !
On se retrouve donc avec des personnages acculés dans tous les sens du terme. Des choix difficiles à faire, des non-retours qui bien sûr sont très intéressants du point de vue du scénario mais qui nous plongent tout de même dans une sorte de dépression, un cercle vicieux dont on ne voit pas le bout… On ne s'ennuie pas, on angoisse tellement à chaque page qu'il est difficile de tourner les pages, même si comme toujours, il y a un peu d'humour par-ci, par-là. Une lueur d'espoir nous apparait à la fin mais elle est viciée par les conséquences qu'elle pourrait avoir… Mais vivement le tome seize quand même !
