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Critique de florencem
Je suis totalement perplexe ! La fin de ce tome est tout sauf claire et j'avoue que je commence à avoir du mal à suivre certaines intrigues. L'identité d'Allen est d'une complexité... J'ai bien ma petite idée après réflexion mais j'espère vraiment que la mangaka va nous fournir rapidement une explication claire et précise très bientôt. Heureusement le tome vingt-cinq doit sortir en février !
Le début du tome se poursuit avec Allen, Johnny et Kanda. Contente de voir que l'on se focalise sur eux et que nous n'avons pas droit à des allers et venues avec les autres personnages. Non, pas que je n'aime pas les voir aussi, mais ici, vu la situation entremêler trop d'intrigues serait mal venu. Nous avons aussi droit à quelques éclaircissement, notamment concernant Link. Je n'avais pas trop de doute sur ce qu'il était devenu mais il est sympathique de savoir ce qu'il s'est passé. Lubier n'apparaît décidément pas sous son meilleur jour, cependant. Autant son corbeau m'est sympathique depuis longtemps, autant lui, c'est pas possible. Je le place au même niveau que les cardinaux qui dirigent la Congrégation. Un mec sans scrupule qui ne pense qu'à ses objectif en écrasant tout le monde sur son passage si besoin.
Là où les choses sont très intéressantes, c'est au niveau du 14ème. Néah est tout de même un véritable mystère et depuis longtemps. Cependant, avec ce tome, on en apprend pas mal. Néah et Mana sont bien frères, des jumeaux même à ce que l'on peut deviner. Une notion qui n'est pas anodine à mon avis. Si ma théorie sur la fin est exacte cela la crédibilise encore plus. J'aime beaucoup ce genre de petits détails auxquels il faut faire attention. Comme des indices dans une enquête. Là où par contre, je pipe toujours rien, c'est pourquoi le Comte semble haïr Mana et Néah tout en voulant en même temps être auprès d'eux... le tome vingt-cinq a intérêt à apporter quelques réponses.
La lutte d'Allen est encore une fois traitée avec beaucoup de subtilité et d'émotions. C'est difficile à regarder, mais j'aime le fait qu'il lutte pour rester "en vie". Il est beaucoup question de choix dans la série, du fait de choisir son destin, de prendre sa vie en main. Ce n'est pas un sujet si évident que cela à traiter mais dans d'Gray Man, la mangaka a su se débrouiller avec brio. Un autre personnage doit d'ailleurs aussi faire un choix. Tim m'a aussi fait beaucoup de peine. le petit golem semble déchiré entre son ancien maître et son nouveau. Il me rappelle un peu Gome de Fly. C'est une présence amicale, un petit compagnon qui pourtant a lui aussi son destin à choisir.
J'ai aussi pris conscience de combien Kanda m'avait manqué. le revoir encore une fois dans ce tome et être si présent fait un bien fou. Lavi me manque d'ailleurs de plus en plus. Je suis assez nostalgique de l'équipe des premiers tomes... Mais il est aussi intéressant de voir combien chacun a évolué. Je trouve juste dommage que la mangaka ne se décide pas vraiment avec Kanda. Il est soi-disant mourant depuis qu'on l'a rencontré mais il résiste toujours. Attention, j'en suis très contente, mais insister sur ce point sans arrêt et ne pas le rendre "réel", c'est un peu comme une fuite en avant.
La fin m'a laissé perplexe comme je l'ai déjà dit. Je ne comprends pas le comportement du Comte, et tout est assez embrouillé. le fait que l'on ait en face de nous des souvenirs en est principalement la cause, et en un sens, c'est tout de même bien mené. La confusion que l'on ressent est le reflet de la confusion d'Allen. Un parallèle qui fonctionne très bien.
Le début du tome se poursuit avec Allen, Johnny et Kanda. Contente de voir que l'on se focalise sur eux et que nous n'avons pas droit à des allers et venues avec les autres personnages. Non, pas que je n'aime pas les voir aussi, mais ici, vu la situation entremêler trop d'intrigues serait mal venu. Nous avons aussi droit à quelques éclaircissement, notamment concernant Link. Je n'avais pas trop de doute sur ce qu'il était devenu mais il est sympathique de savoir ce qu'il s'est passé. Lubier n'apparaît décidément pas sous son meilleur jour, cependant. Autant son corbeau m'est sympathique depuis longtemps, autant lui, c'est pas possible. Je le place au même niveau que les cardinaux qui dirigent la Congrégation. Un mec sans scrupule qui ne pense qu'à ses objectif en écrasant tout le monde sur son passage si besoin.
Là où les choses sont très intéressantes, c'est au niveau du 14ème. Néah est tout de même un véritable mystère et depuis longtemps. Cependant, avec ce tome, on en apprend pas mal. Néah et Mana sont bien frères, des jumeaux même à ce que l'on peut deviner. Une notion qui n'est pas anodine à mon avis. Si ma théorie sur la fin est exacte cela la crédibilise encore plus. J'aime beaucoup ce genre de petits détails auxquels il faut faire attention. Comme des indices dans une enquête. Là où par contre, je pipe toujours rien, c'est pourquoi le Comte semble haïr Mana et Néah tout en voulant en même temps être auprès d'eux... le tome vingt-cinq a intérêt à apporter quelques réponses.
La lutte d'Allen est encore une fois traitée avec beaucoup de subtilité et d'émotions. C'est difficile à regarder, mais j'aime le fait qu'il lutte pour rester "en vie". Il est beaucoup question de choix dans la série, du fait de choisir son destin, de prendre sa vie en main. Ce n'est pas un sujet si évident que cela à traiter mais dans d'Gray Man, la mangaka a su se débrouiller avec brio. Un autre personnage doit d'ailleurs aussi faire un choix. Tim m'a aussi fait beaucoup de peine. le petit golem semble déchiré entre son ancien maître et son nouveau. Il me rappelle un peu Gome de Fly. C'est une présence amicale, un petit compagnon qui pourtant a lui aussi son destin à choisir.
J'ai aussi pris conscience de combien Kanda m'avait manqué. le revoir encore une fois dans ce tome et être si présent fait un bien fou. Lavi me manque d'ailleurs de plus en plus. Je suis assez nostalgique de l'équipe des premiers tomes... Mais il est aussi intéressant de voir combien chacun a évolué. Je trouve juste dommage que la mangaka ne se décide pas vraiment avec Kanda. Il est soi-disant mourant depuis qu'on l'a rencontré mais il résiste toujours. Attention, j'en suis très contente, mais insister sur ce point sans arrêt et ne pas le rendre "réel", c'est un peu comme une fuite en avant.
La fin m'a laissé perplexe comme je l'ai déjà dit. Je ne comprends pas le comportement du Comte, et tout est assez embrouillé. le fait que l'on ait en face de nous des souvenirs en est principalement la cause, et en un sens, c'est tout de même bien mené. La confusion que l'on ressent est le reflet de la confusion d'Allen. Un parallèle qui fonctionne très bien.
