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Critique de Phoenicia
Toujours mes petits plaisirs, je dévore cette collection regency, à peu près au rythme des sorties, à quelques exceptions près.
Ici nous retrouvons le deuxième tome d'une série de tomes compagnons. Notre protagoniste principale est Vesper, une jeune femme pétillante, pleine de convictions et qui est un peu comme un feu indomptable. Une héroïne parfaite pour en faire un protagoniste émancipée malgré la condition de l'époque et surtout idéale pour les joutes verbales qu'elle peut avoir avec son compagnon de romance : Aspen. Il est brillant. Il est en refus des codes de la bonne société. Il aime jouter. Et... il aime Vesper autant qu'elle l'aime depuis l'enfance. Quel plaisir pour une fois d'avoir un ennemies-to-lovers à partir d'un amour d'enfance qui s'est "mal terminé". Encore que, communication défaillante expliquant beaucoup de choses, il faut bien le dire.
Bref, j'aime beaucoup notre duo, leurs caractères et leurs interactions. Ils m'amusent et me procurent des papillons dans le ventre tour à tour.
L'autrice profite aussi de ces romans pour aborder des situations qui lui tiennent à coeur, notamment ce qui a trait à la santé mentale. Alors oui, on est dans une ambiance victorienne. Mais oui, on a aussi une autrice du XXI e s qui modernise un peu cette époque tout en n'enfreignant pas L Histoire. Elle prend juste des personnages marginaux comme protagonistes principaux.
Le gros bémol de ce récit est peut-être à mes yeux l'intrigue. Je trouve qu'il y a beaucoup de virevolte dans tous les sens et de manière précipitée. Mais en revanche, l'autrice nous présente une sacrée montée en terme de tension sexuelle.
Je lirai le prochain tome avec plaisir sachant qu'à chaque fois c'est gage d'heures agréables à souhait.
Ici nous retrouvons le deuxième tome d'une série de tomes compagnons. Notre protagoniste principale est Vesper, une jeune femme pétillante, pleine de convictions et qui est un peu comme un feu indomptable. Une héroïne parfaite pour en faire un protagoniste émancipée malgré la condition de l'époque et surtout idéale pour les joutes verbales qu'elle peut avoir avec son compagnon de romance : Aspen. Il est brillant. Il est en refus des codes de la bonne société. Il aime jouter. Et... il aime Vesper autant qu'elle l'aime depuis l'enfance. Quel plaisir pour une fois d'avoir un ennemies-to-lovers à partir d'un amour d'enfance qui s'est "mal terminé". Encore que, communication défaillante expliquant beaucoup de choses, il faut bien le dire.
Bref, j'aime beaucoup notre duo, leurs caractères et leurs interactions. Ils m'amusent et me procurent des papillons dans le ventre tour à tour.
L'autrice profite aussi de ces romans pour aborder des situations qui lui tiennent à coeur, notamment ce qui a trait à la santé mentale. Alors oui, on est dans une ambiance victorienne. Mais oui, on a aussi une autrice du XXI e s qui modernise un peu cette époque tout en n'enfreignant pas L Histoire. Elle prend juste des personnages marginaux comme protagonistes principaux.
Le gros bémol de ce récit est peut-être à mes yeux l'intrigue. Je trouve qu'il y a beaucoup de virevolte dans tous les sens et de manière précipitée. Mais en revanche, l'autrice nous présente une sacrée montée en terme de tension sexuelle.
Je lirai le prochain tome avec plaisir sachant qu'à chaque fois c'est gage d'heures agréables à souhait.
