Le monde s'est tellement perverti que nous n'arrivons plus à concevoir le moindre acte de bonté sans rechercher aussitôt sa contrepartie de cruauté. p. 78
Tu n'avais jamais frappé personne.Pas au visage, un jour au camp, pris d'une fureur mélée de panique, tu avais donné à Hazem un coup de poing à l'estomac et quand ton ami est tombé à genoux, tu l'avais roué de coups de pieds dans le bras et la cage thoracique. Tout ca parce qu'il avait terminé tout seul - en violation du pacte que vous avez passé tous les trois- ce qui restait d'opium."