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Critique de gonewiththegreen
Lin Xiangfu habite dans le nord et travaille le bois .Quand débarquent chez lui Xiaomen et Aqiang, venus de Wencheng dans le sud, sa vie va être bouleversée.
Très beau roman , divisé en deux parties qui se juxtaposent , la vie de Xiangfu et celle de Xiaomen.
Si ce roman débute à la fin du règne des Qing (début 20 ème siècle) , une grande place est faite à l'époque des seigneurs de guerre , époque qui fait suite à la mise en place , pour le moins chaotique de la république dans les années 1910.
L'auteur montre très bien comment l'anarchie s'est mise en place et le désastre monumental que fut cette période pour le Chine . On parle à peine de la souffrance , sans nom, du peuple chinois et notamment de ses paysans .
Bien sur , on retrouve cette résilience propre aux Chinois, souffrir en silence , que Xiaomen , Xiangfu mais aussi beaucoup d'autres personnages du roman symbolise bien. La quête de Xiangfu est d'une pureté absolue.
Enfin, ce livre est parsemé de coutumes , de traditions autour de la mort, du mariage, de la religion mais aussi de la vie conjugale.
Et le style ? Très Chinois, plat sans doute pour certains .
Un très bon livre , qui n'a pas l'originalité du " septième jour", ni l'originalité du Vendeur de sang ou la fougue et le burlesque de Vivre ! , mais un très bon roman , sur une période peu transcrite. Avec en fond de toile , une belle leçon de vie .
Très beau roman , divisé en deux parties qui se juxtaposent , la vie de Xiangfu et celle de Xiaomen.
Si ce roman débute à la fin du règne des Qing (début 20 ème siècle) , une grande place est faite à l'époque des seigneurs de guerre , époque qui fait suite à la mise en place , pour le moins chaotique de la république dans les années 1910.
L'auteur montre très bien comment l'anarchie s'est mise en place et le désastre monumental que fut cette période pour le Chine . On parle à peine de la souffrance , sans nom, du peuple chinois et notamment de ses paysans .
Bien sur , on retrouve cette résilience propre aux Chinois, souffrir en silence , que Xiaomen , Xiangfu mais aussi beaucoup d'autres personnages du roman symbolise bien. La quête de Xiangfu est d'une pureté absolue.
Enfin, ce livre est parsemé de coutumes , de traditions autour de la mort, du mariage, de la religion mais aussi de la vie conjugale.
Et le style ? Très Chinois, plat sans doute pour certains .
Un très bon livre , qui n'a pas l'originalité du " septième jour", ni l'originalité du Vendeur de sang ou la fougue et le burlesque de Vivre ! , mais un très bon roman , sur une période peu transcrite. Avec en fond de toile , une belle leçon de vie .
