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Critique de Meygisan
Au fil des tomes, Hub complexifie ses scénarii, à l'image de ce tome 8 qui termine le cycle du feu. Non seulement le scénario est plus complexe, pour ne pas dire alambiqué, mais le récit s'allonge. Un tome compte o pas moins de 60 pages, ce qui n'est pas assurément gage de qualité, mais les histoires de Hub et leur complexité n'en demandent pas moins.
Cet album fait la lumière sur la sombre machination qui a rendu coupable Okko et sa petite compagnie aux yeux des clans les plus puissants de Pajan, et ceux ci s'évertuent à en dénicher les coupables. Cette machination en cache elle même une autre, beaucoup plus insidieuse, et qui illustre parfaitement la symbolisation autour du feu et sa capacité à réveiller des passions incontrôlables. Hub nous montrent à travers ses personnages comment les sentiments peuvent mener les humains par le bout du nez.
Dans ce tome, l'accent est mis sur la machination et les complots politiques; le surnaturel est relégué au dernier rang. La créature fantastique est ici remplacée par un homme bien réel, et l'aspect folkorique n'est présent finalement que dans la capacité extraordinaire de camouflage de cet homme, développée à l'extrême. Cela ne nuit nullement au récit, bien au contraire puisqu'il sert le propos de l'auteur.
Okko est définitivement une bien chouette série dont l'auteur Hub maîtrise tous les aspects. En route pour le dernier cycle...
Cet album fait la lumière sur la sombre machination qui a rendu coupable Okko et sa petite compagnie aux yeux des clans les plus puissants de Pajan, et ceux ci s'évertuent à en dénicher les coupables. Cette machination en cache elle même une autre, beaucoup plus insidieuse, et qui illustre parfaitement la symbolisation autour du feu et sa capacité à réveiller des passions incontrôlables. Hub nous montrent à travers ses personnages comment les sentiments peuvent mener les humains par le bout du nez.
Dans ce tome, l'accent est mis sur la machination et les complots politiques; le surnaturel est relégué au dernier rang. La créature fantastique est ici remplacée par un homme bien réel, et l'aspect folkorique n'est présent finalement que dans la capacité extraordinaire de camouflage de cet homme, développée à l'extrême. Cela ne nuit nullement au récit, bien au contraire puisqu'il sert le propos de l'auteur.
Okko est définitivement une bien chouette série dont l'auteur Hub maîtrise tous les aspects. En route pour le dernier cycle...
